2011-07-23 04:27:53 UTC
La dernière tentation du Christ, de Martin Scorsese, montrait un Christ homosexuel, amateur de plaisirs charnels et possédé du démon.
The Handmaid’s Tale (1990) dépeint une Amérique cauchemardesque gouvernée par des fondamentalistes chrétiens. Le gouvernement théocratique interdit les livres qui ne diffusent pas le message biblique
La montre, la croix et la manière (USA, 1991), Louis est photographe d’art dans le studio que dirige Norbert, spécialisé dans les compositions d’inspiration religieuse. Il recherche un nouveau modèle pour incarner Jésus, quand il rencontre un pianiste un peu fou, qui a une tête de Christ (Jeff Goldblum !
Cape fear (Les nerfs à vif, USA, 1991) est l’histoire d’un taulard injustement condamné pour viol. Après quatorze années de prison, il sort enfin et entend bien assouvir sa vengeance jusqu’au bout contre son avocat véreux. Robert de Niro joue ici le rôle du dangereux psychopathe, et Martin Scorsese a eu la bonne idée de lui tatouer un énorme crucifix dans le dos, afin que l’on repère bien d’où vient sa dangerosité. Accessoirement, ce chrétien pentecôtiste fume l’opium et tente de séduire les petites filles, viole une femme, et persécute une famille, pour finalement mourir noyé dans un torrent
Star Treck V, the Final Frontier, Dieu est représenté comme un être mauvais et toutes les religions comme ayant été fabriquées par l’homme, et qui n’auront bientôt plus de signi-fication. Toutes ? Non : car c’est un message uniquement destiné à l’exportation
Johnny Mnemonics (1995) montre la nature maléfique d’un prédicateur qui a pris l’habitude de tuer les gens à coups de crucifix.
Rivières pourpres II (France, 2003), le réalisateur est fidèle au premier épisode, en ce sens où les cadavres retrouvés par nos deux mariolles révèlent des morts au moins aussi atroces. Là encore, bien évidemment, nous avons affaire à un réseau de dangereux néo-nazis qui s’avèrent terriblement organisés et qui ont pour quartier général un monastère de Lorraine,
Seven, qui campe une espèce de taré catholique qui a entrepris d’accomplir sept meurtres symbolisant sa haine des sept péchés capitaux.
Amen, a fait beaucoup de bruit. L’acteur Matthieu Kassovitz y joue le rôle d’un jeune jésuite qui, pendant la Seconde Guerre mondiale tente de sortir le Vatican de sa torpeur et d’inciter le pape Pie XII à dénoncer publiquement la barbarie nazie. L’affiche représente une croix gammée et une croix catholique entremêlées. Les critiques sont évidemment élogieuses pour ce film « bouleversant de vérité ».
etc etc etc
question, est il possible de faire un seul film comparable en défaveur du Judaïsme?